« D'emblée, je mets les
choses au clair : pour moi le slam n'est ni un genre ni un objet
littéraire. Le slam n'est pas non plus une manière de déclamer. C'est un
contexte de prise de parole. Un jeu, une trépidation. Un mouvement poétique, un
mouvement social. C'est une rencontre, un rassemblement. C'est instinctif.
C'est sauvage. C'est cru, c'est brut, ça bouleverse, ça fait du bien. Je
m'explique. »
La suite de cet article
sur la parole et le slam
se trouve aux pages 64 et 65
de la prochaine Revue À Bâbord.
Lancement ce soir.
En kiosque dès demain !
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