[...]
Tu mangeais ta nuit, crue, froide, saignante. Dévorais les coeurs, les uns après les autres, et avais faim, toujours. Tu te saoulais de rêves éteints.
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Nuit blanche.
Revue Main blanche. À saisir librement sur tout bon rayon uqamien. Ou à feuilleter en ligne, ici.
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